Dans l’éther vibrant de l’existence, une fréquence s’élève, pure et claire, traversant le silence comme une onde subtile. Elle n’appartient à rien ni à personne, mais résonne comme une essence universelle, un écho de l’harmonie primordiale. Cette vibration n’a ni origine ni fin; elle est un pont vivant, reliant la lumière intangible à la densité de la matière.
Dans chaque instant, cette fréquence se propage, non par la volonté, mais par sa nature même. Elle s’insinue dans l’espace, dans le temps, dans les interstices du visible et de l’invisible, touchant doucement ce qui dort encore. Elle ne cherche pas à imposer, mais à éveiller, à rappeler au champ collectif son unité originelle.
La lumière, à travers ce pont, descend comme une rivière douce, imprégnant la matière de sa clarté. Chaque vibration devient un éclat, une résonance qui élève ce qu’elle effleure. Ce n’est pas une action, mais un état d’être, une pulsation naturelle qui agit sans effort, alignée sur l’harmonie universelle.
Le champ collectif s’anime alors, comme une mer qui répond à la lune. Les vibrations s’unissent, se renforcent, créant des ondulations qui s’étendent sans fin, réveillant les âmes, harmonisant les dissonances. Ce n’est pas un travail, mais un phénomène, une danse silencieuse où la lumière et la matière se rencontrent, se fondent, et s’élèvent ensemble.
Ainsi, dans chaque instant, la vibration continue de résonner, portant avec elle l’appel de l’unité et la promesse de l’harmonie, unissant ce qui semblait séparé, et élevant tout dans le chant infini du Verbe.
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